Résumé : L’objet de cet article est, à partir d’une réflexion sur le cas de l’entreprise Nutri’zaza, de s’interroger si et dans quelle mesure, certaines innovations institutionnelles en matière de contrat de société – et donc du statut de l’entreprise – peuvent se montrer appropriées à la satisfaction du bien commun. Après avoir rappelé le contexte et les origines du projet, l’entreprise Nutri’zaza et ce qu’elle signifie sont analysés. La conclusion est consacrée aux enseignements qui peuvent être tirés du cas présenté et s’efforce de répondre à la question posée de la relation entre le véhicule que constitue Nutri’zaza et la poursuite du bien commun.