Résumé : L’insertion des coopératives de production dans des réseaux est à l’origine d’externalités positives et permet de consolider leur projet de fonctionnement démocratique. L’article explore les modalités d’une gouvernance élargie dans un réseau de coopératives qui peut contribuer à contrecarrer le dépérissement des processus démocratiques. Le schéma proposé rend effectif le contrôle mutuel des membres en s’appuyant sur la socialisation du capital au sein du réseau.