Résumé : Certains films proposent une pensée figurative renouvelant des débats théologiques et engageant des conjectures théoriques sur les images. Par exemple, si pour Gance le cinéma est une « résurrection lumineuse », n’est-ce pas parce que la projection transporte dans le rai d’une machine le corps glorieux des êtres humains fors ses fonctions organiques, réduit à son idée somatique ? Dans L’Ange de la rue de Borzage, comment le portrait peint fait-il interface entre la théologie et la singularité du cinéma ?