Résumé : Le Portrait de Dorian Gray (Albert Lewin, 1945) commence par un hommage à Charles Baudelaire et une référence à Hermès. Ces références construisent un réseau de sens qui déborde la simple fonction narrative pour interroger la question de l’inspiration et la fonction de l’œuvre d’art en elle-même. Le film met ainsi en abyme le principe de l’image comme portrait où les personnages se contemplent, renvoyant aussi à la question du rapport du spectateur « narcissique » à l’image cinématographique.