Résumé : Bien que Jean Epstein ait dédié maintes pages à l’intense proximité que le visage en gros plan déplie devant les spectateurs, quand les images accueillent un portrait (La Chute de la maison Usher), les règles du jeu semblent changer. En s’appuyant sur des publications récentes ainsi que sur des sources d’archives, on s’aperçoit que la relation complexe entre le corps et le portrait conduit à mettre en lumière des thèmes moins explorés mais parmi les plus fascinants du corpus epsteinien.