Résumé : Au tournant des années 1990, la scène cinématographique du Ghana et du Nigeria a connu une profonde transformation économique et esthétique qui a affecté les représentations, les imaginaires et les données symboliques qui gouvernent l’ordre social. Cette communication s’intéresse à la manière dont ce nouveau cinéma a modifié les rapports entre le visible et l’invisible qui fondent les rites et les croyances populaires et se demande si Nollywood est réellement à l’origine d’un nouveau type « type historique de regard ».