Résumé : En Inde, il n’y a pas de mot équivalent pour « piété filiale », et les parents sont mātā-pitṛ (mère et père). En Chine, cependant, ce mot a été traduit dans le style chinois par « père-mère », et diverses bonnes actions envers les parents ont été traduites par « piété filiale ». Au Japon, dans Le conte de Genji, la « piété filiale » signifie faire du bien à ses parents décédés. Ces différences s’appliquent également à la manière dont les phénomènes naturels vus dans les sutras sont perçus et traduits.