Résumé : Olivier Dorlin rappelle que Louise Erdrich appartient au mouvement de la Renaissance amérindienne et présente les contributeurs qui mettent en avant soit l’arrière-plan culturel de l’œuvre, ce qui nécessite pour le traducteur de connaître les politiques américaines à l’égard des Indiens et de veiller à croiser les différentes langues-cultures ; soit leur sensibilité conceptuelle : empathie et recréation littéraire, approches convoquant Valéry ou Cassirer, insistance sur les progrès de la TA.