Résumé : Cet article présente une étude comparative de cinq traductions de “To Seem the Stranger” G. M. Hopkins. Les cinq traducteurs manquent au texte source, et derrière lui à la torture intérieure vécue par le poète dans son allégeance à deux impératifs opposés, sa rigide foi religieuse et sa quête incessante de la beauté ; la seule possibilité offerte au traducteur pour transmettre directement au lecteur ce drame de l’écriture étant d’imposer au texte cible le même extrême agrammatical que celui que subit le texte source.