Résumé : L’article examine les Œuvres de Sainte Thérèse divisées en deux parties De la traduction de Monsieur Arnauld d’Andilly (1670) à la lumière d’Arnauld d’Andilly (1589-1674) et de la pratique traductive de Port-Royal, afin de révéler certaines caractéristiques de cette traduction qui jouit d’une certaine réputation dans la France du Grand Siècle.