Résumé : Le but de cet article est de réfléchir à la problématique de la traduction des variétés diatopiques à travers l’exemple de la traduction française d’un roman italien contemporain, La Vedova scalza de Salvatore Niffoi (2006, traduit en 2012), qui se caractérise par son métissage italien-sarde. L’analyse mettra en évidence comment la traduction de Dominique Vittoz parvient à forger un nouveau langage qui s’adapte parfaitement à l’écriture de Niffoi.