Résumé : Dans une perspective primitiviste, cet article propose de poser quelques jalons sur ce qu’a pu signifier le cinéma des premiers temps pour Blaise Cendrars, en tenant compte des spécificités historiques de ce nouveau divertissement telles que définies par la « nouvelle histoire du cinéma ». Nous dégagerons les valeurs qu’un tel ressourcement suppose, en vue d’esquisser un rapprochement possible avec la poétique moderniste de Cendrars des années 1910.