Résumé : Cet article revient sur la vie très méconnue de l’éditeur Léon Genonceaux. Jusqu’aux récentes recherches de Gérard Tasset, on ne connaissait rien de l’étonnante reconversion de celui qui avait, en 1890, réédité Les Chants de Maldoror et édité Le Reliquaire de Rimbaud avant de fuir en Angleterre pour échapper à la justice. Il restait à Genonceaux un demi-siècle à vivre.