Résumé : Les milieux d'avant-garde littéraires anglophones se sont intéressés à Lautréamont dès la fin du XIXe siècle et une traduction des Chants de Maldoror a été proposée de manière partielle dès 1914 mais il aura fallu attendre trois quarts de siècle pour qu'une traduction des œuvres complètes enfin satisfaisante devienne disponible, celle d'Alexis Lykiard. Cet article présente le premier chapitre de cette histoire, conclu par la tentative du poète Richard Aldington.