Résumé : La mise en regard du Blason de la mort de J. de Vauzelles (1536) et de son double en prose méconnu qui accompagne la 1re édition de la « Danse de la mort » de Holbein (1538) questionne à nouveaux frais la possible figuration d’entités abstraites (la mort, la beauté), dans le sillage de Lucien et d’O. de la Marche. Le Blason témoigne ainsi d’une sensibilité à la beauté théologique des corps ressuscités et glorieux, mais aussi, en un contre-point assumé, à la beauté sensuelle des corps féminins.