Résumé : Les mises en prose de la fin du Moyen Âge bénéficient désormais d’études portant sur les préoccupations esthétiques et idéologiques des prosateurs et de leurs patrons. On a surtout privilégié les transformations majeures qu’ont subies ces ouvrages : nouveaux épisodes, interpolations, ajouts, excisions. Isoler le menu détail de l’opération traductrice permet pourtant souvent de saisir au vol les transformations et de comprendre leur spécificité. Cet essai se penche sur deux mises en prose bourguignonnes.