4 REMERCIEMENTS

Cette aventure, faut-il le rappeler, n'aurait jamais pu être menée à terme sans l'appui, le soutien et l'amitié de ceux qui, durant toutes ces années, ont cru à ce rêve un peu insensé qu'ils décelaient dans mon regard. Le premier de ceux-là, c'est Bertrand Gervais (UQAM). Je ne saurais trop le remercier de son amitié et de ses encouragements. Toute ma gratitude va aussi à Marc André Bernier (UQTR), dont l'érudition et la générosité m'ont fait découvrir et apprécier les arcanes de la rhétorique et de la littérature d'Ancien Régime. Toute ma reconnais- sance va de même à Diane Desrosiers-Borin (McGill) pour son appui indéfectible et ses précieux commentaires. Mes remerciements et mon affection vont aussi à ces amitiés qui, toutes, à leur manière, ont contribué à la naissance de cette figure de la merveille  : Fabrizio Pagliaroli, pour sa grande générosité, pour son support lors de mes séjours en Italie, pour avoir accepté de revoir mes traductions et, surtout peut-être, pour cet art de vivre qu'il me transmet à travers chacune de ses lettres, à chacune de nos rencontres ;Nathalie et Jean- Pierre, pour leur écoute, leur affection et ces soirées passées à refaire le monde. Enfin, je tiens à remercier, pour leur appui financier, le Fonds québécois de recherche sur la société et la culture (FQRSC), le Conseil de la recherche en sciences humaines (CRSH), le PAFARQ, ainsi que le Bureau de la coopération internationale de l'Université du Québec à Montréal.