Résumé : La position de la NRF en matière de musique ressemble fortement à celle en littérature. Il faut noter une opposition à l'égard d'une position doctrinale de la part d'écrivains qui étaient de bons musiciens. Seules comptaient les œuvres. Et celles-ci étaient jugées à l'aune de leur nouveauté par rapport à la tradition française, généralement méprisée. Si l'unanimité se fait autour de Debussy, les avis sont partagés quand il s'agit de Stravinski, de Ravel ou de Poulenc. Gide finit par retourner à Chopin et à Mozart.