Résumé : Introduit par Schiller à l’esthétique kantienne, Michaelis construit sa propre théorie musicale, marquée aussi bien par le philosophe de Königsberg que par le poète : la musique n’est sublime qu’en tant que ses mélodies vigoureuses et ses harmonies hardies élèvent l’imagination aux pensées et images sublimes. Sa théorie offre une vision d’ensemble de l’art musical englobant la musique instrumentale.