Résumé : Dans les écrits sur la musique de la seconde moitié du siècle, la beauté se démarque de la hiérarchie des styles et relève davantage du « coup de maître » s’écartant de la « bonne composition ». Paradoxalement, la transgression maîtrisée conférant du génie à l’ouvrage échappe précisément à la norme. Le « je ne sçay quoi » du sublime représente une alternative au modèle aristotélicien de la nature mise en ordre.