Cet article insiste sur l’analyse de la prière chez Péguy dans ses divers sens et figures. Peu à peu le poète s’avise que les prières mécaniques de certains croyants risquent de méconnaître la « jeune oraison » par laquelle Péguy revient vers la prière de Jésus tout en l’inscrivant dans le temps : cette jeune oraison trouve sa résidence dans les rosaces de la cathédrale ; enfin cette oraison conjure le temps dans la litanie et l’acrostiche. On peut ainsi parler d’une voix originale de Péguy orant.
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