Réalisé à la marge de l’intrigue principale du Cousin Pons, l’empoisonnement de Cibot par Rémonencq apparaît de prime abord comme une concession faite au romanesque ainsi qu’aux préoccupations contemporaines. Pourtant, cet assassinat peut se lire comme l’allégorie des exactions impunies commises tout au long du roman par cupidité, Balzac vitupérant ainsi la dissociation de la justice et de la morale dans une société où les plus violentes spoliations se perpétuent dans les limites de la légalité.
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