Comptes rendus
- Publication type: Journal article
- Journal: Revue Verlaine
2017, n° 15. varia - Pages: 169 to 176
- Journal: Verlaine Studies
Rimbaud, Verlaine, Cros…, Album zutique. Dixains réalistes, présentation par Daniel Grojnowski et Denis Saint-Amand, Paris, Flammarion, coll. « GF », 2016, 304 p.
Ce n’est pas sans un certain plaisir que le public aura désormais en poche l’intégralité de l’Album zutique. Non qu’il s’agisse d’un livre maudit, mais on jubile à l’idée de consulter à loisir ce livre subversif qui s’offre aujourd’hui en sa kyrielle de poètes qui furent aussi des dessinateurs incontrôlables, de la magnifique œuvre d’Antoine Cros qui sert de frontispice à l’Album au modeste croquis d’un noble établissement situé Passage Vendôme accompagnant le poème « L’Orpheline » de Léon Valade. À côté des poèmes mythiques de Verlaine et de Rimbaud, comme le collaboratif « Sonnet du trou du cul » et les « Remembrances du vieillard idiot », on trouve d’authentiques pépites quasiment inconnues comme « Intérieur matinal » de Charles Cros et « Les Mobiles de la Seine » de Raoul Ponchon. Bien sûr, le format de poche ne saurait donner au lecteur une idée exacte de la nature finalement sophistiquée du manuscrit, non en ses ors et enluminures, mais par ses détails graphiques, ses jeux typographiques, les placements stratégiques et fantaisistes des poèmes qui le composent, les fraternités qui se créent sur l’espace de la page, au fil des rencontres d’un soir dans une turne quelque peu éthylique. Seule une nouvelle édition fac-similaire de l’album1, dans des proportions identiques ou approchantes, pourrait donner une idée de cet objet insolite au format italien afin d’aboutir à une juste considération de l’ampleur de l’œuvre et pour percevoir, sous les rires et au-delà de ceux-ci, son ambition véritable.
Cet album donne une idée de ce que peut la poésie, lorsque son exercice ne se cantonne pas à un milieu artistique en phase de figement, comme le devint finalement le cercle des Parnassiens, qui accueillit à ses débuts les esprits parmi les plus originaux et insoumis du siècle pour ensuite se scléroser sous l’autorité monoculaire de Leconte de Lisle, qui ne manqua 170pas néanmoins de faire les yeux doux à l’Empire. Il donne aussi une idée de ce que peuvent les poètes, et plus largement les hommes, quand ils n’abdiquent pas leurs idées, qui furent très méthodiquement rendues impossibles par la Semaine sanglante, pendant que d’autres, n’ayant désormais d’amour que la République bourgeoise, entraînaient la poésie dans une atonie toute spéculaire et se préparaient à prononcer les exclusions et excommunications des auteurs parmi les plus brillants de ce siècle.
Parfaitement conscient du statut anomique et paratopique du recueil, Denis Saint-Amand ne l’en dote pas moins d’une préface d’une solide facture universitaire. La valeur de cet Album est certaine et réclame en effet une telle approche : les poèmes ne sont nullement des blagues et trouvent leur place légitime dans les œuvres de ces poètes, parmi les plus célèbres Charles Cros et Germain Nouveau et, bien sûr, Paul Verlaine et Arthur Rimbaud. Le riche propos liminaire tire le meilleur parti du livre important de Denis Saint-Amand, La Littérature à l’ombre. Sociologie du zutisme2, qui a pu également bénéficier des découvertes et de l’énergie de Arthur Rimbaud et le foutoir zutique de Bernard Teyssèdre3, et du volume collectif La Poésie jubilatoire. Rimbaud, Verlaine et l’Album zutique, sous la direction de Seth Whidden4, à la suite des travaux fondateurs de Michael Pakenham5 et de Steve Murphy6.
Cette approche sociocritique permet effectivement de placer les réunions zutiques et l’œuvre qui en est issue parmi les milieux littéraires, tout en montrant la sociabilité particulière et paradoxale des habitués de l’Hôtel des Étrangers, qui écrivent bien pour eux-mêmes, entre eux, sur eux-mêmes, mais aussi pour un lectorat qui serait un peuple à venir – celui qu’on a empêché de s’installer, de prospérer et simplement d’exister –, bref un peuple désormais rare, décimé, improbable et à qui 171les zutistes s’adressent bien, dans une langue renouvelée et subversive. Quand ces lecteurs potentiels auront tout à fait disparu (et y compris ceux qui s’entrelurent), viendra le tour de Mallarmé (et de symbolistes moins doués), dont l’obscurité poétique même est bien une sorte d’appel à un peuple lecteur désormais presque absent et, devant recourir ainsi, désormais, à des lecteurs « privés ». Que l’Album n’ait pas été publié à l’époque n’empêche pas qu’il résonne sous la IIIe République de Thiers, à défaut comme une promesse, au moins comme un monde possible. Aussi la préface apporte-t-elle tous les renseignements nécessaires concernant le lieu, les acteurs, le moment et bien sûr l’Album. Ce qui est nommé « la nébuleuse zutique » ou ailleurs le « foutoir » est néanmoins un groupe suffisamment charpenté en idées pour produire une littérature cohérente et compatible. On ne méconnaîtra certes pas le hasard, le caprice, le caractère informel et anti-institutionnel qui présidèrent à ces réunions irrégulières, atypiques et joyeuses, mais il y eut précisément un travail pour faire œuvre, même si l’imprimé ne vint que tardivement et, pour ainsi dire, accidentellement. À ce point mêlée au chaos de l’existence, l’œuvre échappe à tout souci de se faire connaître, mais elle communique tous azimuts. Il est donc légitime d’inscrire l’histoire du zutisme dans celle des collectivités et même des Salons (qui furent, y compris pour les aristocrates, un lieu d’émancipation, celle notamment des femmes contre la domination masculine) pour montrer que le groupe des zutistes achève et radicalise la fronde.
L’appareil de notes est pertinent et sa consultation est enrichissante. Il apporte les informations nécessaires concernant la matérialité de l’album et précise l’identité des cibles parodiques en fournissant en fin de volume les textes victimes, ce qui apporte au lecteur une prime de plaisir, une jubilation devant l’esprit inventif et dévastateur de cette bande improbable, presque de ce gang. Les difficultés ne sont jamais éludées dans cette édition, notamment au niveau des questions lexicales, des implicites et des équivoques qui sont la règle même d’écriture des textes zutiques. Des précisions historiques sont également fournies. Parfois complexes, les textes zutiques reçoivent ainsi l’éclairage nécessaire pour permettre au lecteur de les comprendre en les savourant (et inversement). La figure du lecteur est en effet pensée, programmée, même au sein des pièces en apparence les plus intransitives : pour quel public est écrit l’Album zutique, pour quel public existe-t-il ? Dans la post-histoire née de 172l’écrasement de la Commune, il y a encore du lyrique dans le satirique en un verbe véritablement communicatif. Remerciements sont faits ainsi aux deux critiques pour ces précisions qui rétablissent la situation (diachronique) de communication avec le lecteur d’aujourd’hui. Mais l’intérêt et même l’agrément viennent également de ce que les éditeurs proposent pour chaque poème un commentaire, qui établit avec clarté l’intrigue qui a présidé au poème, en éclaire le cadre para-narratif qui est aussi le propre de la poésie et qu’elle n’abandonnera jamais, même au plus haut des expériences dites symbolistes, comme l’a montré Paul Bénichou7. Les commentaires fournis jouent la carte de la clarté, sans se risquer sur un terrain trop conjecturel. Le lecteur aura le soin de monter sa propre lecture zutique. Il en deviendra lecteur zutique et peut-être, qui sait, zutiste lui-même, en cette heure qui est également celle du centenaire de Dada.
Dans le cadre d’une recension dans la Revue Verlaine, nous n’avons pas véritablement parlé des Dixains réalistes. Auteur de L’Esprit fumiste et les rires fin de siècle, Aux commencements du rire moderne : l’esprit fumiste et La Muse parodique8, Daniel Grojnowski signe une préface d’une grande clarté, qui bénéficie des mêmes qualités que celle de Denis Saint-Amand. Charles Cros est bien le trait d’union des deux œuvres, et, en quelque sorte, le « cerveau » des deux affaires9.
En fin de volume, un très utile répertoire des auteurs est proposé. Cette édition est donc une réussite et permettra au lecteur d’explorer un peu plus les marges de la poésie.
Yann Frémy
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Le Chemin des correspondances et le champ poétique. À la mémoire de Michael Pakenham, sous la direction de Steve Murphy, Paris, Classiques Garnier, coll. « Rencontres », 2016, 705 p.
Cet imposant ouvrage de quelque 700 pages adressé à la mémoire de Michael Pakenham s’ouvre sur deux hommages de Steve Murphy et Keith Cameron dans lesquels on découvre, non seulement une personnalité, mais également une véritable éthique de recherche. La générosité, la modestie et l’humour du chercheur, qualités sans cesse rappelées aux lecteurs, témoignent d’un état d’esprit partout sensible dans ses travaux reconnus pour leur rigueur et leur minutie, guidés par une insatiable curiosité et une patience mises au service de l’honnêteté intellectuelle. Il en résulte un intérêt particulier pour les figures mineures ou oubliées, qui témoigne d’une envie de comprendre en profondeur le contexte dans lequel se sont illustrés les grands auteurs du xixe siècle. Pakenham a permis de redécouvrir Raoul Ponchon ou Jean Richepin, d’accéder à certains textes de Germain Nouveau ou Catulle Mendès, de mieux percevoir l’intérêt de la production parapoétique et des cercles zutiques, d’apercevoir les nuances satiriques du premier Verlaine en évitant de le cantonner à la beauté naïve d’une « fadeur » poétique… Les articles réunis ici cherchent à suivre cet exemple en mettant en lumière certaines productions peu commentées, voire méconnues, des auteurs sanctifiés aussi bien que de certaines figures plus ou moins délaissées par l’histoire littéraire mais qui l’éclairent par bien des aspects. L’ouvrage se focalise ainsi, dans nombre de contributions, sur des questions génétiques, offrant aux lecteurs de nombreux inédits, ce qui n’est pas la moindre de ses qualités. On peut regretter parfois une hyperspécialisation et/ou une multiplication des thématiques abordées faisant perdre de vue l’unité du livre (un chapitrage ou un regroupement thématique, plutôt qu’un classement alphabétique des contributeurs, auraient sans doute facilité la lecture) mais la profusion des contributions et la richesse de certains points de vue compensent heureusement ce manque.
174Le Chemin des correspondances et le champ poétique se caractérise donc par l’abondance et la variété, à même de satisfaire la curiosité de tous. Toute une frange des contributions est d’abord consacrée à Verlaine, ce qui nous intéresse en premier lieu. Arnaud Bernadet met en évidence l’intérêt d’un compte rendu d’Henry Céard pour L’Express du 23 septembre 1881 à propos de Sagesse cité dans la Correspondance Générale établie par Pakenham. La lecture nosographique de Céard, aussi stigmatisante qu’elle soit parfois, permet de mettre en évidence l’originalité mystique de Verlaine qui le distingue des « écrivains catholiques » traditionnels. Solenn Dupas évoque quant à elle la manière dont Verlaine et Coppée revisitent le genre de la revue dans Qui veut des merveilles ?, texte satirique publié dans Le Hanneton. Le genre habituellement consensuel, est ici utilisé pour moquer discrètement les prétentions d’innovation de l’Exposition Universelle de 1867, véritable vitrine du régime impérial. Jean-Louis Debauve évoque Émile Le Brun, ami de Verlaine quelque peu oublié dont nous découvrons la biographie. L’article recense les notes et dédicaces pour sept manuscrits de Verlaine acquis par Le Brun. Ces traces d’une coopération entre les deux hommes peuvent être intéressantes par la démarche plus que par les contenus proprement dits. Peter J. Edwards analyse les intertextes latins dans Les Uns et les autres : un hypotexte issu d’Horace et les transformations apportées au modèle, les liens à la pastorale (via L’Embarquement pour l’île de Cythère de Watteau), l’éventuelle inspiration de Virgile et Théocrite. L’auteur de l’article propose finalement d’observer une dissension dans la pièce, entre le dénouement heureux conforme au modèle pastoral et les discordes émaillant l’action, qui la tirent vers le dystopique. Henri Scepi enfin, analyse l’influence diffuse de Verlaine sur le Laforgue des Complaintes. Ce dernier propose un compte rendu de son propre recueil pour le numéro du 31 août 1885 de La République française dans lequel il évoque Les Déliquescences d’Adoré Floupette (pseudonyme de Vicaire et Beauclair), œuvre qui lui permet de situer son entreprise poétique. Laforgue, à l’instar de Verlaine, entretient un rapport ambigu d’admiration et de détachement par rapport à la décadence. Les contemporains associeront régulièrement Laforgue à Verlaine et, même si ce modèle n’est pas nettement affirmé dans les textes, le paratexte mentionne plusieurs fois le recueil Sagesse sur lequel se fonde une affinité élective. Le travail d’Henri Scepi est aussi l’occasion de signaler la présence de deux autres 175articles sur Jules Laforgue dans l’ouvrage (Rosemary Lloyd analyse son œuvre sous l’angle de la création de soi par le cliché, tandis que l’étude biographique de Martin Sorrell, évoque son épouse Leah Lee).
Verlaine n’est cependant pas le seul poète à l’honneur. L’ouvrage explore largement la production des grands auteurs, qu’il s’agisse de Rimbaud (Christophe Bataillé analyse le contenu parodique et licencieux du « Rêve de Bismarck » ; Yann Frémy approfondit l’analyse de « Délires, I » dans Une Saison en enfer ; Steve Murphy s’interroge sur un éloge étrange à Louisa Siefert dans une lettre de 1870), de Mallarmé (In-Ryeong Choi propose une réflexion sur la poétique de l’évocation à travers « Soupir », poème au titre évocateur ; Peter Hambly prend au sérieux l’injonction du poète qui conseille au lecteur une préparation intellectuelle pour aborder son œuvre ; Michael Tilby donne une nouvelle interprétation de « Galanterie macabre ») ou encore de Baudelaire (Marie Orr s’arrête à une microlecture de « Correspondances » ; Mario Richter expose la vision nouvelle de Baudelaire à propos d’Abel et Caïn dans le poème du même nom). Mais l’intérêt de l’ouvrage réside également dans le fait d’accorder une place particulière à la littérature dite mineure, aussi bien à travers l’étude du corpus parapoétique (Jean-Jacques Lefrère et Jean-Paul Goujon apportent des informations génétique sur l’Album zutique à travers la correspondance ; Philippe Rocher analyse un corpus d’articles et de textes de Verlaine datant de 1867 afin de déterminer les éléments préfigurant la manière zutiste) qu’en mettant en lumière des auteurs encore confidentiels (Alain Chevrier évoquant Jean Dayros, auteur utilisant les hétéronymes et qui serait responsable des États d’âme ou les Sept Chrysalides de l’extase ; Joël Dalançon notant l’intérêt des transpositions d’art d’Albert Mérat surtout connu pour avoir été ridiculisé par Verlaine et Rimbaud).
On s’aperçoit donc que les études réunies dans Le Chemin des correspondances et le champ poétique s’attachent dans la grande majorité des cas aux objets de recherche et aux auteurs qui étaient chers à Michael Pakenham – nous pourrions mentionner encore Tristan Corbière analysé par Benoît de Cornulier, Benoît Houzé ou Samuel Lair ; un manuscrit de Jean Richepin évoqué par Cyril Lhermelier et Seth Widden explicitant l’activité de Germain Nouveau à Londres –, mais on nous donne accès en outre à des documents rares. On découvrira avec plaisir un inédit de Charles Cros dans l’article de Louis Forestier, deux traductions de 176José-Maria de Heredia dans celui de Yann Mortelette ou encore le compte rendu de Charles Morice pour Les Poètes maudits dans celui d’Olivier Bivort. D’autres documents sont susceptibles d’intéresser le lecteur, qu’il s’agisse des correspondances inédites de la mère de Mallarmé reproduites dans l’article de Bertrand Marchal ou de celle entre Louis-Xavier de Ricard et Edgar Quinet dans celui de Rose Blin-Mioch (on notera que la question des correspondances, annoncée comme un biais d’analyse, n’est en réalité soulevée que partiellement dans l’ouvrage), ou du travail en cours de Jean-Louis Aroui constituant un répertoire des dizains réalistes. Signalons enfin l’apport des illustrations : les caricatures dans l’article sur Les Hommes d’aujourd’hui de Luce Abelès, la reproduction de ffocsoR ou de « L’Album Noir », notamment « Poésie-Portrait de Rosalba », permettant de mieux comprendre les intentions de Tristan Corbière dans l’article de Benoît de Cornulier, ou encore le visage de Michael Pakenham, aux seuils de ce travail d’envergure, qui semble apprécier d’un regard bienveillant et expert la richesse des études dix-neuviémistes.
Romain Courapied
1 L’édition en fac-similé du manuscrit original par Pascal Pia au Cercle du livre précieux date de 1961. Elle est désormais introuvable.
2 Denis Saint-Amand, La Littérature à l’ombre. Sociologie du zutisme, Paris, Classiques Garnier, 2012.
3 Bernard Teyssèdre, Arthur Rimbaud et le foutoir zutique, Paris, Léo Scheer, 2011.
4 Seth Whidden (dir.), Rimbaud, Verlaine et l’Album zutique, Paris, Classiques Garnier, 2010.
5 Voir Michael Pakenham, « Sur l’Album zutique », Paris, Mercure de France, no 1176, 1961, p. 746-748 ; « L’Album zutique », Revue d’histoire littéraire de la France, no 1, janvier-mars 1964, p. 135-136 ; « Une revue d’avant-garde au lendemain de 1870 : La Renaissance littéraire et artistique, dirigée par Émile Blémont ». Chapitre iv : « Bonshommes et Zutistes » dans Seth Whidden, op. cit., p. 13-32.
6 Voir Steve Murphy, Le Premier Rimbaud ou l’apprentissage de la subversion, Éditions du CNRS / Presses universitaires de Lyon, 1990 et Rimbaud et la ménagerie impériale, Éditions du CNRS / Presses universitaires de Lyon, 1991.
7 Paul Bénichou, Selon Mallarmé, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque des Idées », 1995.
8 Daniel Grojnowski et Bernard Sarrazin, L’Esprit fumiste et les rires fin de siècle, Paris, José Corti, 1990 ; Daniel Grojnowski, Aux commencements du rire moderne : l’esprit fumiste, Paris, José Corti, 1997, Daniel Grojnowski, La Muse parodique, Paris, José Corti, 2009.
9 On se reportera concernant les Dixains réalistes à la recension inspirée de Jean-Pierre Bobillot, « Rimbaud, Verlaine, Cros…, Album zutique. Dixains réalistes », Recherches & Travaux, nº90, 2017, mis en ligne le 1er juin 2017, consulté le 12 septembre 2017, URL : http://recherchestravaux.revues.org/912
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- ISBN: 978-2-406-07788-6
- EAN: 9782406077886
- ISSN: 2426-8860
- DOI: 10.15122/isbn.978-2-406-07788-6.p.0169
- Publisher: Classiques Garnier
- Online publication: 02-09-2018
- Periodicity: Annual
- Language: French