Table des incipit
- Publication type: Book chapter
- Book: Poésies
- Pages: 615 to 623
- Collection: Seventeenth-Century Library, n° 16
- Series: Voix poétiques, n° 4
TABLE DES INCIPIT 1
CHAULIEU
Abbé, dont le discours flatteur XXV
Ah ! cessez, par vos vers, adorable Princesse XXI
À la tendre jeunesse CXXVI
Amour, qu’injustement j’ai blâmé ton empire LXX
Après de longs soupirs, j’ai fléchi ma Climène LXXVII
Après un rude Hiver le Printemps nous redonne CXXII
Argentina ferox, et longa pace tumescens LXII
Au bon vieux temps, où le gentil Ésope XVIII
Au plus docte, au plus gracieux LI
Autant et plus que sa vie CXLVI
Autrefois l’Amour vainqueur LXVII
Bien connaissais d’officieux talents XXVI
Bien m’y connais, et ne suis des plus bêtes CLXV
Ce bouquet est des jardins de Cythère CXI
Celui qui grava sur ce sable XCVIII
Ce n’est que pour nous seuls que mon vin moussera XC
Cependant que l’on examine CLXIX
Cernis ut invisae coeant in Fœdera Gentes LXIII
Ces fleurs s’en vont trouver l’objet charmant CX
Ces jours passés le pauvre Houdart CLXXII
Ce soir, lorsque la Nuit, aux amants favorable LXXXVIII
Cessez d’affecter un langage XIII
C’est dans le palais de l’Amour LXXI
Cher ami, vois dans mon verre CXLII
Chère sœur, Princesse aimable XLV
Ci-gît, qui, dépourvu de riche apanage CXXIII
Commençons, mes amis, à boire CLXXX
Comment répondre à la sœur d’Apollon CXXXIX
Confidentes de mes pensées XCIX
Dans ces tranquilles lieux que l’affreuse misère CXL
Dans cette peinture charmante XIX
Dans notre château de Saint-Maur CXLI
De cettui preux qu’a prédit et chanté CXVI
Depuis six ans sans cesse je publie CLXX
Depuis un temps suis en possession CVIII
Désert, aimable solitude VI
De Vénus aux belles fesses CL
Dieux ! quelle étrangère flamme CLXVI
Dieux ! qu’une dixième Muse CLXXVI
Dispense moi de te faire un bouquet CLII
Élève que j’ai fait en la loi d’Épicure LV
Elle est vive, elle est charmante CLIX
En fait d’amour, sans trop cuider de moi CXXIV
En jugement vous remportez le prix CXXXV
Est-ce Saint-Aulaire, ou Tourreil CLXVII
Et puis on lit, près de la Sacristie XXII
Excuse, grand Nevers, la lenteur de ma veine IX
Faire un bouquet peut être chose aisée CXII
Feu Monsieur votre Frère et vous CLXXXIII
Grand Nevers XXIV
Gouverneur de ces beaux climats XLVII
Hélas ! était-elle endormie CXLVIII
Ici, malgré l’ennui que cause votre absence LXV
Il est au monde une aveugle Déesse CLXXXI
Il est jeune, il est aimable LXXXIX
Il n’en est plus, Thémire, de ces cœurs CLXXIX
Iris fut le premier nom CLXXV
Iris, ne croyez pas qu’une flamme nouvelle CLVI
J’ai fait cent tours sous mon portique XLIV
J’ai fait pour vous deux beaux bouquets CXV
J’ai vu de près le Styx, j’ai vu les Euménides I
J’ai vu, du paisible rivage X
J’attends avec transport cet objet gracieux CLXII
J’attends Iris, et ses rigueurs CXXX
J’avais suspendu ma lyre LVII
Je célèbre ta victoire CIV
Je dois ce soir voir une belle LXXX
Je goûte, en te voyant, mille et mille plaisirs CLXI
Je goûte loin de vous, en de paisibles lieux LXXIV
Je jouis du plaisir de te voir quand je veux LXXXIV
Je louais mon Iris, et mon cœur prévenu LXXXVI
Je m’étais seulement flatté XII
Je n’accepte pas encore CLXXXVII
Je ne suis occupé que du soin de vous plaire XCVI
Je sais que partisan d’une austère sagesse VII
Je sers, grâce à l’Amour, une aimable maîtresse LXXXII
Je vous trouve fort aimable CIII
Juge, qui te déplaces CXLVII
La divine Bouillon, cette adorable sœur XV
La Fare me disait un jour tout en colère XCIV
La Fare n’est donc plus ! La Parque impitoyable LIX
La Fare y conduira, sous le nom de Comus XXIX
La foule de Paris à présent m’importune V
L’Amour, partant de Cythère LXVI
L’Amour, se dérobant aux charmes du sommeil CXXXVII
L… qui souverainement CV
Le beau duc de Foix nous réveille XXXI
Le bon vieillard qui brûla pour Bathylle CLXXVII
Le Ciel, en formant un cœur CLX
Lecteur, sans vouloir t’expliquer CLXVIII
Le destructeur impitoyable IV
Le premier jour du mois de mai CLXXIV
Le Respect est de glace, et l’Amour est de flamme CLIV
Le Rhône, sur ses bords, vit naître une pucelle CXXI
Le serin, belle Iris, que tu tenais en cage CLVII
Le silence et la paix règnent dans ce bocage XCV
Loin de la foule et du bruit XX
Loin de la route ordinaire XLI
Maître en rondeaux était le bon Clément CXXXIV
Messieurs, vous aurez La Loubère CXLIX
Mon Iris m’est toujours fidèle LXXVI
Mon Iris avec moi vient passer la soirée LXXXVII
Naguère avais, dans un accès de goutte CVI
N’a pas longtemps qu’avisai Madelon CXXXII
Nature, enseigne-moi par quel bizarre effort CXC
Nectar, qu’on avale à longs traits XLII
Ne sortons pas encore XXXII
N’était-ce point assez de quatre jours d’absence C
Ne vous attendez nullement CLXXXVI
Non, je ne verrai plus Sylvie CXXXIII
Notre féal et bien amé Cochon CLXXI
Nous vous devons un compliment XXXVII
Oh la belle approbation CLXXIII
Ô Muse, en ces moments, où, libre à cette table CLXIV
Oncques ne fut amant tant soit chéri CIX
On dit que Monsieur… CXLIV
Or à cette solennité CXXXVIII
Or maintenant, en ce grand changement XLIII
Ô toi, qui de mon âme es la chère moitié XL
Oui, je vous attendais, vous me l’aviez promis CXXIX
Ô vous, dont la beauté fit naître XCI
Pendant le temps que je vous ai servie CXLIII
Phœbe, nihil toto spectabis amœnius orbe LXI
Phyllis, en baisant un moineau CXLV
Plus j’approche du terme, et moins je le redoute II
Plus n’est le temps que l’Amour me faisait CXIII
Plus promptement que ne fait Melpomène CXVIII
Point n’avez l’art de parler sans rien dire XXVIII
Pour des rondeaux, chant-royal et ballade XIV
Pourquoi chercher si loin quel est ce feu nouveau L
Pour recevoir écrits si gracieux XXIII
Pour un Vaticinateur XXXIII
Prés, coteaux, aimables fontaines LXXV
Près de Sceaux, sur la fin du jour XXXIX
Princesse, dont la patience CXVII
Princesse, en qui l’art de plaire III
Quand d’une sainte ardeur notre âme est enflammée CI
Quand je regarde ma bergère CXXV
Quand verrai-je ma pauvreté XVI
Qu’avec plaisir du Parnasse XXXIV
Que ce réduit est agréable XXX
Que de chagrins, de tourments et d’alarmes LXIX
Que j’aime ta noble audace CXX
Quel éclair perce la nue LVI
Quel est cet homme admirable XLVIII
Quelque faveur que l’on me fasse XI
Quelques nourrissons du Parnasse CXXXVI
Que pour sa fête on porte à ma Catin CLI
Quid frustra tumidas Rhenus pater objicit undas LXIV
Qu’il aime dès demain, qui n’a jamais aimé LXXVIII
Qui veut parler d’amour à ma Catin CVII
Quoi donc ! quand je veux écrire LVIII
Quoique nos docteurs puissent dire LXXIX
Reçois mes fruits, qu’avec toi je partage XXVII
Retirez-vous de moi, Plaisirs tumultueux CLXXVIII
Seigneur châtelain, la manière XLIX
Séjour délicieux, Retraite consacrée LXXIII
Semblable à cette parole XXXV
Si l’on m’écrivait que l’Amour CXIX
Sitôt qu’Iris sut me toucher CXXVII
Si vos yeux ont eu le pouvoir XXXVI
Si vous et moi même Dictionnaire CLVIII
Source intarissable d’erreurs VIII
Sous le doux nom d’amitié je t’ai fait CXIV
Sta quisquis es LX
Théone, à qui les Dieux donnèrent LXXXIII
Théone, tu voulais à la simple amitié LXXXI
Tircis, que l’avenir trouble moins tes beaux jours CLXXXII
Tircis toujours fidèle et toujours malheureux LXVIII
Toi, dont le teint fleuri, respecté des années LIV
Toi qui, né philosophe au milieu des grandeurs LIII
Tôt tôt, tôt tôt, tôt tôt XVII
Tu fuis loin de moi, Ricanette CXXXI
Tu vois trop mon rival, et tu me vois trop peu XCIII
Un Aveugle au matin vous remit en mémoire CLV
Un Cordelier en grand’ dévotion CLXXXVIII
Un doux penchant toujours vers vous m’entraîne CII
Vendôme, malgré moi, je cède aux doux transports XXXVIII
Venez me voir ; l’Amitié vous engage XCII
Vénus vous a donné depuis peu sa ceinture LII
Veuille le Ciel, de la jeune Climène CLIII
Veux-tu savoir d’où vient qu’aujourd’hui
tant me coûte CLXXXIX
Viens ce soir, viens jouir du pouvoir de charmer LXXII
Voilà certaine centurie CLXXXV
Voit-on les Grâces enrhumées XLVI
Votre absence me cause un plus cruel martyre CLXIII
Vous avez gagné le cœur LXXXV
Vous êtes fille de l’Amour CXXVIII
Vous m’avez dégoûté de tout ce qui peut plaire XCVII
Vous savez trop payer qui vous fait quelque bien CLXXXIV
LA FARE
Allez, mes vers, allez trouver Sylvie XLVI
Âme de toute la Nature XXII
Au fond d’un bois, au bord d’une fontaine LI
Au temps jadis une jeune beauté XLIII
Au tour naïf, à la simplicité XXXI
Autrefois la raillerie XV
Avant qu’Iris sût mon amour extrême XLV
Avec des traits divins aux mortels inconnus XLI
Chez Saturne au premier âge XXXIV
Ci-gît le destructeur d’un pouvoir légitime XXXVIII
Consumé d’une ardeur qui ne se peut éteindre LIV
Dans les siècles passés, quand l’amoureuse flamme X
Dans les Temps fortunés de l’enfance du Monde LXVIII
De l’homme voici la chimère XVII
De quelques vers mal polis XXVIII
Dès ma première jeunesse LXXI
Des yeux vous faites le plaisir LVI
De Vénus Uranie, en ma verte jeunesse XVIII
Dieu des amours, Père des vrais plaisirs XXXV
Du bord paisible où la Seine LXIX
En vain je bois pour calmer mes alarmes XX
Esprit et corps, tout m’afflige IX
Faut-il, ne rimant qu’avec peine XXVI
Heureux qui s’affranchit de cette crainte vaine XXIII
Il est vrai ces immortelles XXIX
Il est vrai, je suis pas à pas LII
J’avais voulu profiter de l’absence L
Je n’espérais jamais que, sensible à ma flamme XLII
Je ne me connais plus, moi dont l’âme tranquille XXVII
Je ne vous vois que rarement XLVIII
La Beauté, la Jeunesse et les Grâces un jour XXXII
La Fortune a ses injustices LVIII
La Fortune de tout temps LX
L’Amour sait surmonter les plus puissants obstacles XXX
Lieux qui le trentième été VI
Loin d’ici, beautés mortelles III
Lorsque livrés tous deux à notre ardeur extrême LV
M’abandonnant à la tristesse XIX
Muse, douce enchanteresse LXIII
Muse, qui daignant me sourire VII
Non, non, les yeux de Cythérée VIII
Oui le délicat assemblage LXVII
Oncques ne vis un si poli goutteux XIV
Où sont, hélas ! ces trop courtes journées XLIX
Par qui, comment, dans mon esprit XXV
Plus on observe ces retraites I
Pour avoir secoué le joug de quelque vice II
Présents de la seule Nature XXI
Princesse, trouvez-vous quelque chose d’étrange XXXVII
Puissant et premier Génie IV
Qu’Amour et Bacchus LIX
Quand j’entendis celle que j’aimais tant XIII
Quand les enfants de la Terre LXV
Que le précieux moment LXX
Quel spectacle nouveau tient mon âme enchantée XXIV
Reçois avec plaisir l’épître XI
Si les vers qu’inspire Apollon LXVI
Souvenir des plaisirs de mes jeunes années LXII
Tant qu’a duré la cruelle rigueur XLVII
Tourmenté des vapeurs de la mélancolie LXI
Tout aime en ce mois LVII
Tout ce qui peut rendre estimable XLIV
Un courrier monté sur Pégase XVI
Un nouveau feu vient d’allumer mes sens XL
Un regard enchanteur, une bouche animée XXXIX
Vendôme, j’avais cru que l’éclat de ta vie LXIV
Venez échauffer ma veine V
Vous avez joint à toutes les beautés XXXIII
Vous fîtes hier quelque chose d’étrange XXXVI
Vous insultez, maître fripon XII
Vos heures qu’Amour a formées LIII
1 Les chiffres romains renvoient au numéro de la pièce.
- CLIL theme: 3439 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques -- Moderne (<1799)
- ISBN: 978-2-8124-2056-6
- EAN: 9782812420566
- ISSN: 2258-0158
- DOI: 10.15122/isbn.978-2-8124-2056-6.p.0615
- Publisher: Classiques Garnier
- Online publication: 05-19-2014
- Language: French