C'est un devoir pour moi que d'exprimer ici ma ftdèle et res-
pectuerase gratitude à M. René Pintard, mon directeur de thèse complémentaire, pour ses conseils si bienveillants et si sûrs et pour la peine supplémentaire qu'il a prise de revoir mon manuscrit avant l'impression. M. Raymond Lebègue, après avoir dirigé mes pre-mières recherches sur Corneille, a suivi avec beaucoup de sollicitudeles progrès de ce travail et en a grandement facilité la publication je lui en suis très vivement reconnaissant. Je dois beaucoup aussi à M. Pierre Moreau, qui m'a indiqué plusieurs importantes corrections,et à M. Morio Roques, qui a bien voulu accueillir dans cette col- lection une édition faite suivant la méthode qu'il a indiquée pour lespremières comédies de Corneille. Qu'il me soit permis enfrn deremercier mes amis, MM. Sylvère ~~lonod, André Journaux,Raphaël Manchon et Marcel Dudet, pour !'aide précieuse qu'ilsm'ont apportée à divers moments.
Caen, le ii janvier 1957.