Note liminaire

NOTE LIMINAIRE

SELON les principes de la Collection, nous avons adopté le texte de Texemplaire personnel de Balzac de la première édition de la Comédie humaine, familièrement appelé « le Furne corrigé » (en abrégé F. 2). Mais nous y avons inséré, à la place qu'ils occupaient dans l'édition originale, les titres des parties et des chapitres. Aux textes, nous avons joint, outre les Introductions : — Un Sommaire biographique où les faits ont été choisis en fonction des deux romans étudiés; — Une Note bibliographique ; — Deux appendices critiques y contenant chacun une histoire du texte, des variantes et des textes antérieurs (réemployés ou supprimés); — Deux séries de Notes (une pour chaque roman) de caractère historique et critique. Nous n'avons pas jugé nécessaire de reproduire, en les abrégeant, les excellentes notices du Dr F. Lotte publiées dans son Dictionnaire des personnages reparaissants (Paris, Corti, 1956) et reproduites dans le tome XI de l'édition de la Pléiade. En revanche, nous avons étudié dans les Intro- ductions et dans les Notes les transformations parfois pro- fondes, jamais dépourvues de signification, que le travail créateur du romancier l'a conduit à imposer à certains de ses personnages.

Nous n'avons plus qu'à dire notre gratitude à l'égard de tous ceux, maîtres, disciples, collègues, amis, qui, de près ou de loin, nous ont aidé pendant les dix années où

II NOTE LIMINAIRE nous avons élaboré cet ouvrage. Notre embarras est de choisir. Au cours du commentaire, seront désignés ceux qui nous ont fourni tel ou tel renseignement. Qu'il nous soit permis de remercier ici nommément quelques-uns à l'égard de qui notre dette est particulièrement grande : Jean Pommier, Pierre Barberis, P.-G. Castex, Rafaele di Cesare, Pierre Citron, Jean Ducourneau, Fernand Lotte, Roger Pierrot, Maurice Regard. Avec eux, unis à eux par une commune ferveur pour l'œuvre balzacienne et par une fraternelle amitié, nous remercions tous les anciens et les nouveaux travailleurs de Γ Année hal':(acienne, tous ceux qui hantent la Collection Lovenjoul, lieu où souffle l'esprit, où se dilate le cœur. B. G.