Julien Gracq prête d’abord au sacré, dans la lignée du surréalisme, une force sacrilège qui s’oppose au catholicisme, religion de sacristains. Il ne méprise cependant ni les formes léguées par la tradition catholique, ni l’apport des écrivains catholiques à l’histoire de littérature. Aussi le catholicisme, que ce soit comme antithèse de l’esprit de conversion ou comme réservoir de figures pour un sacré poétiquement redéfini, n’a-t-il cessé d’être une polarité active de son imaginaire.
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