Cet article revient sur le rôle des « corps » ou « fluides impondérables » dans le système balzacien, pour le mettre en relation avec l’importance que le romancier accorde au mouvement dans son herméneutique du corps. Une telle mise en relation permet d’interroger la lourdeur que Taine critiquait dans l’incarnation pratiquée par Balzac, mais aussi de confronter sa conception du corps à celle que lui prête Zola. Émergent alors deux visions radicalement différentes de la physiologie.
Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques