Chapitre XVII Où l'on montre que nul ne peut transférer en totalité ce qui lui appartient au Souverain et que ce transfert n'est pas nécessaire. De l'État des Hébreux ; quel il fut du vivant de Moïse, quel après sa mort, et de son excellence ; enfin des causes pour quoi l'État régi par Dieu a péri et, durant son existence, n'a presque jamais été libre de séditions
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : Œuvres. Tome II. Traité théologico-politique
- Pages : 314 à 347
- Réimpression de l’édition de : 1928
- Collection : Classiques Jaunes, n° 144
- Série : Littératures francophones