Cet article porte sur « Mon testament », qui tire sa valeur de pastiche de sa brièveté spectaculaire dans Mémoires d’un veuf (1886). Renouant dans un premier temps avec François Villon, Paul Verlaine y consigne aussi ses dernières volontés, et décale de manière ironique le testament composé puis remanié par Victor Hugo entre 1875 et 1883. S’il prétend donner de l’œuvre le mot de la fin, c’est en posant la question non moins sérieuse de l’héritage comme de la gloire présente et future du poète.
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