Arthur Rimbaud est souvent tenu pour un poète de l’alacrité, de l’exaltation, de la vivacité – autant de valeurs contribuant à sa naturalisation en vagabond à peine sorti de l’enfance. Pourtant, sa quête de bonheur semble vouée à l’échec et le plonge dans un ennui distinct du spleen baudelairien. Ce sont les motifs et le potentiel cathartique de cette poétique de l’ennui qui sont ici interrogés, à travers un parcours transversal et une micro-lecture d’« Oraison du soir ».
Thème CLIL : 3383 -- HISTOIRE -- Histoire générale et thématique -- France