Le nom de Nerval apparaît sous la plume d’Artaud une première fois en 1925, lorsqu’il publie un poème en prose, « La Vitre d’amour », inspiré d’un conte d’Hoffmann que Nerval traduisit. Vingt ans plus tard il ressurgit dans une lettre à Georges Le Breton qui venait de proposer à l’interprétation des Chimères des clés de nature kabbalistique. Un sonnet retient l’attention d’Antonin Artaud, qui semble y renaître en un autre que soi : « Antéros », auquel tout naturellement s’adjoint « Artémis ».
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