Dans sa lettre du 15 mai 1871, Rimbaud considère le poète parnassien Albert Mérat presque comme l’égal de Verlaine. Cet article s’efforce de comprendre pourquoi Rimbaud a qualifié Mérat de « voyant », quelle influence les poèmes de Mérat ont pu avoir sur ceux de Rimbaud et quelles ont été les raisons de leur brouille. Il analyse la parodie que Verlaine et Rimbaud ont faite de L’Idole de Mérat et apporte un témoignage nouveau sur le rôle de celui-ci dans l’affaire du Coin de table.
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