Table des matières
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : Normes et objets du savoir dans les premiers essais leibniziens
- Pages : 345 à 348
- Collection : Les Anciens et les Modernes - Études de philosophie, n° 48
Chapitre d’ouvrage : Précédent 14/14
Table des matières
Avertissement 7
Préface 9
Introduction 15
PREMIÈRE PARTIE
PROJET ENCYCLOPÉDIQUE
ET NORME DE LA SCIENCE
AUTOUR DE LA NOVA METHODUS DISCENDAE
DOCENDAEQUE JURISPRUDENTIAE (1667)
Introduction
De la méthode à l’Encyclopédie 33
1. Considérations préliminaires sur les études :
l’acquisition des habitus 36
2. Le détour encyclopédique : recension des habitus
et unité des sciences 40
3. Éléments d’une théorie de la science sans théorie
de la connaissance 47
I. Genèse et norme de la science 51
I. Questions de méthodes 57
1. « Méthode naturelle » et critique du ramisme 57
2. Méthode « divisive » et méthode « scientifique » 63
346II. Leibniz et le mos mathematicus 68
1. L’ordre axiomatique des géomètres 68
2. Équivocité de l’analyse 72
III. La norme de la science 79
1. Lieu systématique de la définition de la science 79
2. De l’expérience à la science 81
3. La nécessité comme analycité –
« ex ipsis terminis demonstrabilis » 84
II. L’Art d’inventer et ses fondements
Leibniz, Bisterfeld et les relations transcendantes 101
I. Deux modèles d’invention 107
1. Topique et combinatoire 107
2. Les loci inventionis dans le De Arte Combinatoria 109
II. La « doctrine métaphysique des relations
de l’Étant avec l’Étant » 111
1. Bisterfeld et l’immeatio 114
2. L’héritage scolastique des métaphysiciens calvinistes :
la distinction des relations 117
3. Consistentia, existence, harmonie 121
Épilogue : l’avenir de la topique 128
Conclusion 131
III. La Métaphysique et les Sciences 133
I. Les sciences des termes 135
1. Simples 135
2. Philosophie abstraite et philosophie concrète 149
II. La Métaphysique, science de l’étant et de ses affections 155
1. L’Étant comme sensible et comme imaginable 157
2. Les relations ou « affections de l’étant » 176
Conclusion 189
347DEUXIÈME PARTIE
UNIVERSAUX ET VÉRITÉS ÉTERNELLES
RÉFLEXIONS SUR LES FONDEMENTS
DE LA SCIENCE 1668-1673
Introduction
Logique verbale et logique réelle 195
IV. L’universel introuvable 209
I. « Conceptualisme » contre « nominalisme radical » ? 212
1. Complexité de la position épistémologique
de Nizolius 215
2. Une critique éclatée 220
II. Un problème déplacé : l’émergence de la généralité 226
1. Faits et raisons 227
2. La controverse méréologique
et son arrière-plan historique 230
3. Un fondement ontologique contradictoire 234
III. Un problème séculaire et sa solution
provisoire : la prédication sur les classes vides 241
1. « Les disputes des summulistes de constantia subjecti » 242
2. L’existence comme « pierre de touche »
de la possibilité 246
3. La reprise d’une solution traditionnelle : les individus
possibles, vérifacteurs des propositions de raison 253
Conclusion 257
V. Idée et définition 259
I. L’idée, notion subsidiaire ? 261
1. Idées divines et créatures 261
2. L’enjeu épistémologique : comment dépasser
la particularité de l’expérience ? 265
3. La psychologie absente 270
348II. La définition comme « signification signifiée » 274
1. Le défi hobbesien : une aporie sans solution 274
2. La genèse des idées dans l’histoire des langues 279
III. Une « épistémologie platonicienne » ? 283
1. L’idée comme « imagination claire et distincte » 285
2. De la signification à l’idée 290
3. La clarté comme index realitatis 292
Épilogue. Statut ontologique des possibles
et définition de la possibilité dans les écrits parisiens 299
Conclusion 306
Conclusion générale 309
Bibliographie 317
Index Nominum 339
- Thème CLIL : 3916 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Philosophie -- Histoire de la philosophie
- ISBN : 978-2-406-11533-5
- EAN : 9782406115335
- ISSN : 2260-8311
- DOI : 10.48611/isbn.978-2-406-11533-5.p.0345
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 08/09/2021
- Langue : Français