L’amitié avec Zao Wou-Ki nourrit la fascination de L. Gaspar pour la culture chinoise. C’est ainsi que la notion de souffle ouvre au poète la possibilité d’expérimenter cette articulation de la nature naturante avec la nature naturée dont il regrette l’inaccessibilité existentielle chez Spinoza. Au contact de l’œuvre de Zao Wou-Ki, Gaspar multiplie les occasions d’entraîner sa poésie dans un processus de création ininterrompue.
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