L’amitié de L. Gaspar et de G. Séféris fait ici l’objet d’une étude détaillée. Leur correspondance, les manuscrits et les poèmes de La Maison près de la mer, d’Égée et de Patmos montrent combien la voix de Séféris circule en filigrane dans les poèmes de L. Gaspar. Cette imprégnation profonde infléchit souvent sa propre voix, qui mêle alors sa sensibilité au « jaillissement » à la perception historique et tragique des Grecs.
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