On ne sait rien d’un homme tant qu’on n’a pas lu sa correspondance. L’homme extérieur se peint dans ses œuvres, l’homme intérieur se peint dans ses lettres. […] On n’est jamais plus ressemblant que quand on se peint à son insu au lieu de façonner sa physionomie dans un miroir.
Alphonse de Lamartine, Cours familier de littérature, Tome VII, 1856, p. 318.