Je remercie ici Michel Murat et Didier Alexandre pour la confiance qu’ils m’ont toujours témoignée, mais aussi Marie-Paule Berranger, Olivier Penot-Lacassagne et Anne Foucault pour les échanges que nous avons eus autour du surréalisme et qui m’ont encouragée à poursuivre la réévaluation de quelques perspectives critiques.