Au moment de publier ce travail, je souhaite exprimer ma reconnaissance à Colette Beaune, Catherine Vincent et Jean-Pierre Bordier ; au gahom (et à Marie-Anne Polo de Beaulieu), à l’irht (et à Anne-Françoise Leurquin-Labie) et l’École Nationale des Chartes (et à Françoise Vieillard, Pascale Bourgain et Frédéric Duval).
Pour finir, je me tourne vers ma famille qui a fait preuve d’une inépuisable patience !