À la mémoire de mon papy Armand Sarazin
qui m’a toujours encouragé à lire,
à écrire et à apprendre des langues étrangères.
Et de ma marraine Hélène Spies, qui m’a beaucoup aidé
en relisant ce texte avec toute la gentillesse,
l’attention et l’enthousiasme qui la caractérisaient.