[…] je vise la reliure entre Magris et Glissant : êtres-dans-l’exil, d’un aussein perpétuel, êtres in-between vivant sur le gap de la coupure, zwischen las lenguas, dans l’impensé de l’entre des langues, dans l’antre – que nous écrirons désormais avec a pour refuge : antre.
Camille de Toledo, L’inquiétude d’être au monde, Verdier, collection « Chaoïd », 2012, p. 29.