À Ema, à celle qui est toujours à mes côtés et qui m’a poussé vers cette expérience, bien que son travail et mes recherches nous aient parfois
tenus séparés, et à mes enfants, Tommaso, Bianca et Giordano,
je dédie ces années de travail acharné, qui ont enrichi mes connaissances et ma profession. Vingt ans après… de tout mon cœur.
À mes parents et à ma sœur.
À moi-même, enfin, pour avoir recommencé. Comme toujours
dans ma vie, je me suis adressé à la France et la France m’a répondu. Ad maiora.