Maurice de Guérin a trouvé en Charles Du Bos de fraternels prolongements posthumes : même intérêt pour le spirituel, l’imaginaire, l’écriture, l’introspection ; mêmes questions obsédantes quant à l’unité, la dispersion du moi ; même manière d’échapper à l’œuvre cathédrale à travers des petits blocs de prose ou des fragments. Cette relation parallèle permet de suivre les variations interprétatives de Guérin en Du Bos et inversement. C’est ce fonctionnement spéculaire et exégétique que nous abordons ici.
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