2 On peut reconnaître dans les six premiers vers les Histoires des amans fortunez, que Belleforest, en en accentuant le caractère sombre, attribue donc à Boaistuau ; il voit entre elles et les Histoires tragiques l’évolution d’une tonalité mixte vers un tragique absolu où la « prose » de Boaistuau surpasse même la poésie des anciens. Si l’exagération laudative est habituelle, la discordance entre cette interprétation et la VIe histoire, en particulier, qui vient d’occuper le dernier tiers du recueil, est notable et traduit une divergence de conception des Histoires tragiques que la Continuation viendra aussitôt confirmer. Voir Introduction, p. 21-22.
3 Sur le nom de l’auteur, voir fo *i vo, p. 145, note 1.
4 A, C, [D], [F], G, H : de l’ame les corps ; [I] : de d’ame les corps ; J : les corps.