En 1606, une traduction anonyme donne une voix française à un chef d’œuvre de la littérature italienne : le Baldus de Teofilo Folengo, alias Merlin Coccaie. Globalement fidèle, l’Histoire macaronique change cependant le sens du texte folenghien en faisant de Merlin le « Prototype de Rablais ».
Mots-clés : Littérature de la Renaissance, langue de la Renaissance, Italie, traduction, fiction, anonymat, aventures chevaleresques, épopée, farce, satire