Il s’agit dans cet article de commencer à lire les traces et inscriptions, peut-être la trajectoire, des moyens de destruction dans les textes de Jacques Derrida ; de témoigner des pages qu’il consacra à la destruction et aux moyens qu’elle se donne ; d’entamer une évaluation, de l’arme du crime à celle du bourreau et au-delà, des conséquences philosophiques d’une hypothétique histoire de la destruction.