L’hypothèse sur laquelle repose cette intervention est que la nudité crée une disproportion dans la géométrie et la matière de l’espace. Cette disproportion, l’œil n’est pas en mesure de l’assimiler. Après avoir posé quelques réflexions d’ordre théorique appuyées notamment sur Manet et Zola, cet article, à partir de quelques extraits de mon œuvre de fiction, examine la nature de cette frontière constitutive de la nudité.