Je remercie Colette Collomp pour la générosité dont elle fait preuve à mon égard depuis maintenant dix-sept ans, aucun mot ne saurait exprimer mon immense gratitude.
Je remercie aussi mon très estimé préfacier Lucien Faggion et ses collègues, Tommaso di Carpegna Falconieri, Jean-Luc Nardone, Raffaele Ruggiero et Sylvain Trousselard, pour leurs conseils et encouragements.
Que tous ceux qui m’accompagnèrent sur les traces oubliées de Domenico Sauli trouvent ici l’expression de ma sincère reconnaissance.