![Desportes (Philippe) - Les Premières Œuvres - Table des incipit](https://classiques-garnier.com/images/Vignette/BpgMS04b.png)
Table des incipit
- Publication type: Book chapter
- Book: Les Premières Œuvres
- Pages: 599 to 608
- Collection: Renaissance Texts, n° 193
- Series: République des Muses, n° 2
Table DES INCIPIT
Les variantes des incipit sont indiquées en italiques
Ah Dieu que c’est un estrange martyre 127
Ah mon Dieu je me meurs ! il ne faut plus attendre 185
A l’heure que je vey vostre belle lumiere 97
Amour a mis mon cueur comme un rocher à l’onde 197
Amour à petit feu fait consommer mon ame 192
Amour, à qui j’ay fait tant de fois sacrifice 316
Amour brûle mon cueur d’une si belle flâme 110
Amour, choisi mon cueur pour butte à tous tes traits 351
Amour en mesme instant m’aguillonne et m’arreste 317
Amour guide ma plume, et me donne l’adresse 231
Amour, je t’en supplie, arreste ma guerriere
Amour, je te supply, par ta mere Cypris
Amour, le Ciel, Fortune, et tous les elemens
Amour, oiseau vollant, arreste ma guerriere
Amour peut à son gré me tenir oppressé 295
Amour, quand fus tu né ? Ce fut lors que la terre 95
Amour, qui vois mon cueur à tes piés abatu 296
Amour sceut une fois si vivement m’attaindre 295
Amour, si j’ay souffert, fidelle à ton empire 343
A pas lents et tardifs tout seul je me promaine 335
Apres avoir passé tant d’estranges traverses 363
Apres avoir sauvé par mon art secourable 282
Arreste un peu, Mon cueur, où vas tu si courant 165
Aspre et sauvage cueur, trop fiere volonté 336
Assemblez vous, ô Deïtez sacrées 249
Au saint siege d’Amour, des grans dieux le vaincueur 179
Autour des corps, qu’une mort avancée 344
Avoir pour toute guide un desir temeraire 334
Ayant pour vostre amour brulé d’amour, gemi, crié, pleuré
Ayant pour vostre amour mille fois souspiré 83
Ayez le cueur d’un Tigre, ou d’une Ourse cruelle 324
Belle et cruelle main, qui m’avez enchaisné 214
Bien que le mal d’Amour, qui me rend furieux 339
Bien qu’une fievre tierce en mes veines bouillonne 339
Blessé d’une playe inhumaine 337
Bourdin eut un esprit veillant incessamment 281
Brissac estoit sans peur, jeune, vaillant et fort 279
Ce jour un pauvre amant triste et desesperé 330
Celle qui de mon mal ne prend point de soucy 349
Celle qui me retient sous l’amoureuse loy 96
Celuy n’avoit d’Amour essayé la puissance 307
Celuy que la mort mesme en vivant redoutoit 279
Celuy que l’amour range à son commandement 109
Celuy que le ciel tout puissant 208
Celuy qui n’aime point, ou qui n’a point aimé 372
Celuy qui n’a point veu le printemps gracieux 296
Ce malheureux Amour, ce tyran plein de rage 155
Ce n’est assez que soyez si bien née 298
Ce n’estoit de mon bien que la fainte d’un songe
Cependant que l’honnesteté 237
Ce qui tant me plaisoit n’a esté qu’un faux songe 497
Ces eaux, qui sans cesser coulent dessus ma face 104
Cesse, Amour, tes rigueurs, mets fin à ta poursuite 267
Ceste fontaine est froide, et son eau dous-coulante 225
C’est en vain desormais que la mere Nature 279
C’est en vain qu’on essaye à forcer la puissance
C’est en vain qu’on s’essaye à forcer la puissance 398
Ceux qui peignent Amour sans yeux 118
Chargé du desespoir, qui trouble ma pensée 136
Chassez de vostre cueur la dure cruauté 182
Chassez de vostre cueur l’injuste cruauté
Cherchez, mes tristes yeux, cherchez de tous costez 270
Comme dedans un bois enrichi de fueillage 382
Comme on voit au printemps le bouton rougissant 275
Comme quand il advient que l’humaine pensée 276
Comme quand il advient qu’une place est forcée 348
Cruelle loy d’amour et de ma destinée 302
Cy gist l’aveugle Amour, sa puissance est estainte 207
De l’œil de ma Diane est ma flamme agitée 77
Depuis deux ans entiers que j’aime une beauté 345
Depuis l’aube du jour je n’ay point eu de cesse 142
De quels couteaux fut mon ame blessée 352
Dés le jour que mon âme auparavant rebelle 75
De tous ceux qui d’Amour ont eu la connoissance
De tous ceux qui d’Amour ont senti la rudesse
De tous ceux qui ont eu de l’Amour cognoissance 387
De toutes les fureurs dont nous somme pressez 261
Deux clairs soleils la nuict estincelans 325
Doncques sera t-il vray que l’ennuy qui me ronge 97
Doncques sera t-il vray qu’il faille que je suyve 493
Douce Liberté desirée 305
D’où vient qu’un beau soleil, qui luit nouvellement 340
Du bel œil de Diane est ma flamme agitée
Durant les grans chaleurs j’ay veu cent mille fois 76
Durant qu’un feu cruel dedans Rome sacage 331
Du sommeil, qui te clôt les yeux et la pensée 281
Elle pleuroit toute palle de crainte 90
Eloignant vos beautez, je vous laisse en ma place 85
En la saison premiere, alors que toutes choses 391
En quel desert, en quel bois plus sauvage 168
En quel desert, quel bois ou quel rivage
Fay que je vive, ô ma seule Déesse 185
Frisez vos blons cheveux, adoucissez vos yeux 205
Grand dieu d’amour enfant de Cytherée 304
Grand Juppiter, ministre de l’orage 316
Helas ! chassez ce vouloir ostiné 106
Helas ! ciel inhumain, et toy dur monument 282
Helas ! cruel Amour, veux tu jamais cesser 164
Helas ! injuste Amour, veux tu jamais cesser
Helas ! de plus en plus le malheur qui m’outrage 104
Helas ! que me faut-il faire 152
Hé ! ne suffit-il pas qu’Amour trop animé 173
Heureux Anneau de ma belle Déesse 105
Heureux Anneau de ma belle inhumaine
Icare est cheut icy le jeune audacieux 291
J’accompare ma Dame au serpent furieux 216
Jamais foible vaisseau deçà delà porté 326
J’ay faict de mes deux yeux une large riviere 207
J’ay languy, malheureux, quatre longues journées 313
J’ay long temps voyagé courant tousjours fortune 107
J’ay par long temps comme Amour m’affolloit
J’ay par long temps sous l’amoureux pouvoir 113
J’ay tant suyvi l’amour sans avoir recompanse 110
Je chante une beauté des beautez la premiere 499
Je croy que tout mon lict de chardons est semé 335
Je delibere en vain d’une chose advenuë…300
Je l’aime bien pour la douce puissance 217
Je le confesse, Amour, je te suis redevable 92
Je le sçay trop qu’il ne faut que j’espère
Je me laisse brusler d’une flamme couverte 213
Je m’estoy dans le temple un Dimanche rendu 209
Je me travaille assez, pour ne faire apparoir 101
Je me veux rendre Hermite, et faire penitence 171
Je ne me plains de vostre cruauté 90
Je ne puis pour mon mal perdre la souvenance 294
Je ne veus desormais m’enquerir d’avantage 273
Je ne veux jamais plus penser 181
Je ne veux plus aimer un cerveau si volage 216
Je ne veux plus penser que la fureur de Mars 198
Je ne veux point blasmer la nature et les cieux 408
Je sens d’un feu divin ma poictrine enflammée 464
Je sens d’un feu nouveau ma poictrine enflammée
Je sen fleurir les plaisirs en mon ame 297
J’estoy sans cognoissance estendu dans ma coûche 212
Je suis chargé d’un mal qui sans fin me travaille
Je suis chargé d’un mal qui tousjours me travaille 84
Je suis las de lasser les hommes et les dieux 239
Je suis repris, helas ! je suis repris 109
Je te conjure, Amour, par ta mere Cypris 119
Je te doy bien haïr malencontreuse année 288
Je te l’avoy bien dit, pauvre cueur desolé 172
Je te supplie, Amour, arreste ma guerriere 78
Je veux blâmer Amour, dieu de sang et de flame 147
Je veux maudire Amour, dieu de sang et de flame
Je veux chanter Roland, sa fureur et sa rage 441
Je veux chanter Roland, ses fureurs et sa rage
Je voulu baiser ma Rebelle 187
Je vous ay si souvent mes douleurs faict entendre 405
Je vous offre ces vers qu’Amour m’a faict escrire 73
Je voyoy foudroyer d’un effort incroyable 215
J’excuse le mary de celle qui m’a pris 206
Juste posterité, qui liras la vaillance 280
La mort qui porte envie aux plus rares beautez 337
L’Amour qui campe en ma poitrine
L’Amour qui loge en ma poitrine 150
L’an comme un cercle rond, qui tout en soy retourne 322
Langue muette, à mon secours tardive 352
L’âpre fureur de mon mal vehement 82
Las ! ce qui m’a tant pleu n’estoit rien qu’un faux songe
Las ! en vous éloignant, ma Dame 199
Las ! faut-il que tousjours mon dueil je continuë 425
Las ! je me meurs en presence de celle 145
Las ! je ne verray plus ces soleils gracieux 199
Las, je sçay bien qu’il ne faut que j’espere 76
Las ! on dit que l’espoir nourrît l’affection 111
Las ! plus je vais avant, plus je suis outragé 241
Las ! que me sert de voir ces belles plaines 86
Las ! que me sert quand la douleur me blesse 88
Las, que nous sommes miserables 235
Las, que puis-je avoir faict, ô moy pauvre insensé 314
Las ! qui languît jamais en si cruel martyre 82
Las ! qui vesquit jamais en si cruel martyre
Las ! trop injuste Amour, veux tu jamais cesser
La terre nagueres glacée 245
L’AUBESPINE mourant aux beaux jours de son âge 284
L’eau tombant en lieu bas goute à goute, a puissance 342
L’eau tombant en lieu haut goute à goute, a puissance
Le jour que je fu né, l’impitoyable archer 163
Le labeur glorieux d’un esprit admirable 275
Le mal qui me rend miserable 357
Le penser qui m’enchante, et qui le plus souvent
Le penser qui me plaist, et qui le plus souvent 74
Les premiers jours qu’Amour range sous sa puissance 178
L’Homme est bien malheureux, qui pense en bien aimant 252
Loin du nouveau soleil en mes vœux adoré 331
Lors que j’escry ces vers il ne faut que l’on pense 276
Lors que le preux Achile estoit entre les Dames 251
Lors que le trait d’amour sortant de vostre veuë 429
Lors que le trait par vos yeux decoché 88
Lors qu’un de vos rayons doucement me blessa
Lors qu’un de vos regars doucement me blessa 117
Ma bouche à haute voix chante assez liberté 314
Ma chair comme eau s’est écoulée 284
Madame, Amour, Fortune, et tous les elemens 174
Madame, apres la mort qui les beautez efface
Madame, apres la mort c’est chose manifeste 112
Ma foy desesperée, Amour, et la Fortune 233
Ma foy mal reconnuë, Amour, et la Fortune
Maistresse, en t’escrivant je ne veux entreprendre 419
Malheureux fut le jour, le mois, et la saison 103
Ma nef passe au destroit d’une mer courroussée 113
Marchans, qui recherchez tout le rivage More
Marchans, qui traversez tout le rivage More
Marchans, qui voyagez jusqu’au rivage More 92
Mary jaloux, qui me deffens la veuë 205
Mettez moy sur la mer quand elle est courroucée 315
Mon Dieu mon Dieu que j’aime ma Déesse 89
Mon dieu que de beautez sur le front de ma Dame 299
Ne dites plus, Amans, que l’absence inhumaine 197
Non non, n’estimez point pour m’estre ainsi rebelle
Non non, n’estimez point pour vous monstrer rebelle 102
Nous sommes six chasseurs de la belle Cypris 254
O beaux yeux inhumains, pourquoy m’embrasez vous 315
O bien heureux qui peut passer sa vie 221
O doux venim mortel, ô guide tromperesse 333
O grand démon volant, arreste ma meurtriere
O lict, s’il est ainsi que tu sois inventé 164
O mon cueur plein d’ennuis, que trop prompt j’arraché 330
O mon petit livret, que je t’estime heureux 166
O Mort contente toy, ton char est honoré 278
O mort, tu pers ton temps de me poursuyvre ainsi 212
On ne voit rien qui soit si solitaire 81
O Nuict jalouse, nuict contremoy conjurée 188
Or que bien loing de vous je languy soucieux 99
Or qu’esloigné de vous je languy soucieux
Or que je suis absent des beaux yeux de Madame 129
Or que mon beau Soleil loing de moy se retire 86
O songe heureux et doulx ! où fuis-tu si soudain 100
Par l’œil de ma Diane est ma flamme agitée
Par vos graces, Madame, et par le dur martyre 94
Pensant à toy j’ay fini cest ouvrage 288
Pleurs et soupirs je vous ouvre la porte 243
Plus j’esloigne les yeux qui nourrissent ma flame 200
Pour estre absent du bel œil qui me tuë 87
Pour gage de ma foy, et pour monstrer l’envie 378
Pour me recompenser de tant de passion 94
Pourquoy si folement croyez vous à un verre 300
Pourquoy si plein d’orgueil marches tu sur ma teste 297
Pour tant d’ennuis divers, tant de flamme et de glace 346
Pour vous aimer je veux mal à mon cueur 318
Privé des doux regards, qui mon ame ont ravie 168
Puis-je pas à bon droit me nommer miserable 98
Puis que je ne fay rien en vous obeïssant 108
Puis que je suis épris d’une beauté divine 132
Puis que le ciel cruel, source de mes malheurs 125
Puis que le ciel cruel, trop ferme en mes malheurs
Puis que par ton secours mon brasier est esteint 220
Puis que pour mon malheur ceste unique beauté 191
Puis que vous le voulez, demeurez inhumaine 293
Puis qu’on veut que l’image en mon cueur si bien peinte 215
Quand au matin le grand flambeau des cieux 338
Quand du doux fruit d’Amour je me rens poursuivant 180
Quand j’approche de vous, et que je pren l’audace 102
Quand je ly, tout ravi, ce discours, qui soupire 274
Quand je pense aux douleurs dont j’estoy tourmenté 210
Quand je pense aux plaisirs qu’on reçoit en aimant 153
Quand je pouvois me plaindre en l’amoureux tourment 292
Quand j’espreuve en aimant les rigueurs d’une dame 310
Quand je suis tout le jour de douleurs agité 293
Quand je viens à penser à mon cruel malheur 114
Quand l’ombrageuse nuict nostre jour decolore 351
Quand premier Hippolyte eut sur moy la victoire 332
Quand quelquefois je pense à ma premiere vie 313
Quand tu ne sentirois aucun feu d’amitié 190
Que doit faire un amant comme moy miserable 401
Que faites vous Mignons, mon desiré souci 226
Que je fu malheureux de me laisser reprendre 367
Quel feu par les vens animé 318
Quelle manie est egalle à ma rage 354
Quel secours faut-il plus que j’attende à ma peine 256
Quel supplice infernal, quelle extreme souffrance 211
Que m’a servy de vous avoir servie 258
Que maudits soyent mes yeux si promts à mon dommage 210
Que n’ay-je la langue aussi promte 355
Quoy que face le ciel, je seray tousjours telle 235
Qu’une secrete ardeur me devore et saccage 299
Recherche qui voudra les apparans honneurs 224
Rendez vous plus cruels, beaux Yeux qui me blessez 350
Sçavez vous ce que je desire 356
Si c’est aimer que porter bas la veuë 91
Si ceste grand beauté tant douce en apparance 332
Si doucement par son regard me tuë 347
Si j’aime jamais plus pour vivre mal contant 107
Si jamais plus ma liberté j’engage 218
Si je languy d’un martyre incognu 341
Si je me siés à l’ombre, aussi soudainement 166
Si la foy plus certaine en une âme non fainte 80
Si l’angoisse derniere en rigueur est semblable 359
Si la pitié trouve en vous quelque place 183
Si le mary jaloux de la belle Cypris 174
Si les dieux par pitié se fussent peu flechir 283
S’il n’y a rien si froid ne si glacé, que celle 344
Si tost qu’au plus matin ma Diane s’éveille 93
Si tost que vostre œil m’eut blessé 359
Si vous m’aimez, Madame, helas ! si vous m’aimez 184
Si vous voulez que ma douleur finisse 204
Solitaire et pensif dans un bois escarté 99
Somme, doux repos de nos yeux 175
Sommeil, paisible fils de la Nuict solitaire 349
Sommeil, qui trop cruel au temps de mes amours 340
Soucy chaud et glacé, que la crainte a faict naistre 348
Sus sus ma voix, d’un accord pitoyable
Sus sus mon Lut, d’un accord pitoyable 123
Tant d’outrageux propos de courroux et d’orage 334
Tant que j’ay eu du sang, des souspirs, et des larmes 353
Tourne, mon Cueur, ailleurs ton esperance 343
Tout ce que la nature et le ciel favorable 283
Tu t’abuses, De-Cour, pensant representer 273
Un jour l’aveugle Amour, Diane, et ma maistresse 167
VALLON, ce Dieu tyran, qui me fait endurer
VALLON, ce faux amour, qui me fait endurer 79
VALLON, l’enfant amour, qui me fait endurer
Venus cherche son fils, Venus toute en cholere 292
Veu que de vostre Amour je n’attens que martyre 213
Voicy du gay printemps l’heureux advenement 177
Vos yeux, belle Diane, ont autant de puissance 79
Vouloir ambicieux, esperance interdite 347
Vous me cachez vos yeux, las trop cruellement 312
Vous n’estes point mes yeux, ô trompeuse lumiere 345
Vous qui pippez d’amour, d’erreur et de jeunesse 433
Vous qui tenez ma vie en vos yeux prisonniere
Vous qui tenez mon ame en vos yeux prisonniere 413
Vous voulez estre Hermite, Hermite allez vous rendre 172
Yeux, qui guidez mon ame en l’amoureux voyage 178
- CLIL theme: 3439 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques -- Moderne (<1799)
- ISBN: 978-2-8124-3151-7
- EAN: 9782812431517
- ISSN: 2105-2360
- DOI: 10.15122/isbn.978-2-8124-3151-7.p.0599
- Publisher: Classiques Garnier
- Online publication: 11-14-2014
- Language: French