Incarnation expressive d’un certain lyrisme romantique, le « dolorisme » se mue chez Corbière en transmission poétique de la douleur. C’est ce qu’accomplit « À une demoiselle » avec l’évocation cacophonique d’une demoiselle dont les touches de piano sont en diapason (violent) avec son dentier. D’où une télégraphie musicale parodique, chant sentimental de désaccord et de désharmonie – et plus si désaffinités (succès assuré).
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